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Grâce à ce cours, les étudiants du Master en gestion de patrimoine, qui fait partie de la Faculté de droit, d'économie et de finance de l'Université, ont pu comprendre les motivations et les attentes des philanthropes d'aujourd'hui et comment, en tant que futurs gestionnaires de patrimoine, ils peuvent mieux conseiller leurs clients en vue d'une stratégie philanthropique structurée et efficace.
Les gestionnaires de patrimoine sont souvent la première personne vers laquelle les clients se tournent pour obtenir des conseils sur les dons philanthropiques. Ils ont donc un rôle important à jouer dans la concrétisation d'un projet philanthropique personnel, familial ou d'entreprise. Ce cours vise à familiariser les futurs gestionnaires de patrimoine avec les aspects pratiques du processus de donation afin qu'ils puissent aider leurs clients à réaliser leurs aspirations philanthropiques.
Depuis 2013, le programme Master in Wealth Management (MWM) forme des étudiants aux compétences liées à la finance et à la gestion de patrimoine. Cela inclut la philanthropie, qui est devenue un pilier clé parmi les offres de gestion de patrimoine au Grand-Duché et dans toute l'Europe.
Cette année, pour la première fois depuis 2020, les étudiants et les intervenants ont pu assister au cours en personne. Une trentaine d'étudiants venus du monde entier ont appris les aspects juridiques et fiscaux à prendre en compte dans les dons transfrontaliers, un sujet essentiel dans la société mondialisée d'aujourd'hui, tout en acquérant une compréhension des approches et des structures existantes pour une philanthropie axée sur l'impact. À l'aide d'exemples et d'études de cas spécifiques, les étudiants ont acquis des compétences en matière de conseil et d'engagement de leurs futurs clients dans le domaine de la philanthropie.
Deux conférenciers invités ont complété le cours :
Hugo Mahieu (ci-dessous à gauche), CEO de la Fondation Mangrove, sous l’égide de la Fondation de Luxembourg, qui a fait part de son expérience de la philanthropie d'entreprise au profit des populations vulnérables et de l'environnement, et Laura Foschi (ci-dessous à droite), CEO d'ADA (Appui au Développement Autonome), qui a présenté la microfinance comme une approche alternative à la philanthropie d'impact.