Selon la définition de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), « la dyslexie est un trouble spécifique, durable et persistant de l’acquisition du langage écrit apparaissant chez un enfant d’intelligence normale dans un environnement scolaire adéquat, et ne présentant par ailleurs aucun trouble sensoriel, émotionnel, ni déficit socioculturel majeur ». Suivant les sources de l’OMS, 8 à 12% de la population mondiale serait atteinte d’une dyslexie. Les enfants atteints d’un trouble « dys » sont souvent considérés comme fainéant, paresseux et peu intelligent. 

Au Luxembourg, il n’existait pas beaucoup d’offres d’aide concrètes et efficaces pour ces enfants. « Dys-positiv », un projet soutenu en collaboration avec Caritas Luxembourg propose une prise en charge globale des enfants. Il offre un diagnostic, suivi par une aide professionnelle et thérapeutique par des psychologues et une éducatrice.

Ce sont surtout les parents qui devront financer les frais de thérapie, tout en sachant que beaucoup de familles ne pourront pas se permettre de payer les montants prévus. À travers le projet « Service Dys-positiv » Atoz Foundation vient en aide à des familles à basses revenues pour cofinancer les frais de thérapie et soutenir les activités de« Dys-positiv ».